vendredi 29 juin 2007

La réponse à la question ...

(Capture de la cam le 29/06 à 11H17)

est non.
A mon tour de poser une question : Qui es-tu ?

jeudi 28 juin 2007

Envie de hurler

Je crois que je vais m'épargner un peu et arrêter de lire les commentaires des autres blogs pendant un petit moment !

Le cinéma, y'a que ça de vrai !

Persepolis

Rien de tel qu'un bon film pour se changer les idées (j'avais dit chuuuut !). C. a donc partagé cette agréable soirée avec moi, et notre choix s'est porté sur Persepolis de Marjane SATRAPI et Vincent PARONNAUD, dont les premiers échos étaient plus que positifs.

Ce film d'animation est tiré de la bande-dessinée du même nom, et en reprend le même thème : le récit de l'incroyable vie de la réalisatrice. Marjane est une petite fille qui vit son enfance dans l'Iran des années 70, ou le Chah est au pouvoir. Sa famille appartient à une certaine élite cultivée de Téhéran, qui rejette alors la dérive autoritaire du dirigeant. La révolution gronde, puis éclate. Mais celle-ci aboutit alors à l'instauration de la République islamique, transformant alors la vie de la petite Marjane et de sa famille. L'enfant a du caractère et est alors confrontée aux changements qu'elle appréhende au fur et à mesure qu'elle grandit. Mais le renforcement de la répression lié au durcissement du régime et l'éclatement de la guerre entre l'Iran et l'Irak poussent alors les parents de Marjane à l'envoyer en Europe, vivre une liberté de plus en plus reléguée au rang de souvenir dans l'Iran des années 80.

Cela faisait longtemps que je n'avais vu un film d'animation. Le côté esthétique est ici flagrant et m'a très rapidement embarqué. Je ne saurai dire si cet esthétisme est fidèle à celui de la bande dessinnée puisque je ne la connaissais pas. En effet, j'ai appris l'existence de cette BD et de son auteur durant le weekend. C'est donc plein de curiosité que je suis allé voir ce film. Grand bien m'en a pris. J'ai adoré revoir cette partie de l'histoire du Moyen-Orient dans les yeux lucides de cette enfant grandissante. Des sujets terribles sont abordés das le film, mais toujours avec un humour et un style percutant, au combien préférable au pathos qui aurait pourtant eu de quoi se nourrir. Les personnages sont attachants (quelle Grand-mère !), les petits détails (j'en ai surement manqué) sont jouissifs, et le tout respire d'une honnêteté évidente. L'absence, la solitude, la mentalité occidentale, la liberté, la famille, l'éducation et de nombreux autres sujets sont subtilement abordés. J'ai adoré !

mercredi 27 juin 2007

Et c'est reparti

Merci à tous ceux qui ont eu un mot gentil ou m'ont proposé des pistes de réflexion suite à mon dernier billet. Je vais. Sachez que l'envie d'aller de l'avant est plus forte que tout chez moi. Elle s'appliquera donc ici aussi.

Maintenant je souhaite que le silence prenne le dessus sur cette histoire et sur l'impudeur dont j'ai fait preuve. La colère et l'incompréhension que je peux ressentir face à cette situation ne sortiront plus de moi ici, puisque j'ai compris qu'ils étaient vains. J'ai voulu me défouler, je l'ai fait. Le garçon posé que je suis va reprendre le dessus et digérer cette étape. Comme cela aura toujours été le cas, à plus ou moins longue échéance, dans les précédentes épreuves que j'ai pu rencontrer.

Retour à la case départ en quelque sorte. Même si comme toute expérience, je conserve ce que j'ai vécu ces dernières semaines, quand bien même cela pourrait être faussé. Ces moments m'enrichissent. Je sais que je me suis donné les moyens de vivre quelque chose. Peut être pas suffisament, pas de la bonne manière, mais je n'ai pas de regrets car j'ai essayé. On ne peut imposer de vivre quelque chose à quelqu'un qui s'y refuse. L'envie s'entretient, se révèle, mais ne se créé pas.

Désormais, je dois m'occuper et faire bouger mon quotidien. D'un autre côté, celui-ci n'a pas eu le temps de s'effacer ni d'être boulversé, donc la transition devrait se faire aisément. La seule différence se fera sentir au niveau des connaissances faites ces derniers temps. Difficile de continuer à fréquenter les personnes et les endroits qui sont les siens et que je n'ai pas eu le temps de faire devenir miens. Me voici donc en vacances pour une longue période avec du temps à disposition (je ne m'en plains pas, ce serait malvenu !), même si de nombreux projets les remplissent déjà amplement. Je l'ai déjà fait, je peux donc remonter en selle et faire de cette vie qui est mienne, une belle vie qui me mènera vers ce dont j'ai envie. Et oui, je refuse toujours de me résigner. Pas déjà, pas comme ça.

Petite citation du film Amélie Poulain, que j'ai toujours en tête :
" Vous n'avez pas des os de verre.
Vous pouvez-vous cogner à la vie !"

Alors préparez le synthol et les pansements !

mardi 26 juin 2007

Tout ce que vous n'avez jamais demandé à connaître

Je n'aurai jamais cru que j'arriverai à m'épancher sur ce type de situation sur un blog, mais comme je l'ai déjà dit, j'envisage ce lieu comme un défouloir. Et là, j'ai justement besoin de me défouler.

Ce que je préssentai depuis hier et qu'un texto dans la soirée (plus que maladroit) avait confirmé, est donc arrivé. A. ne désire pas aller plus loin. Je respecte ce choix, mais j'avoue ne pas en comprendre les raisons. Ou plutôt, je n'arrive pas à croire en celles qu'il m'a donné. Je savais avoir l'air d'un "gentil garçon", mais je ne savais pas avoir l'air d'un imbécile.

Ce garçon est intelligent, surement impulsif, mais pas immature ni irréfléchis (?). C'est pourquoi je refuse d'y croire. Il y a autre chose qui est entré dans l'équation. Il a beau noyer le poisson dans des explications qui partent dans tous les sens, mais il manque une clé. Le raisonnement est incomplet. Il me cache un élément, pour des raisons peut être louables, pour m'épargner peut être (même si ses maladresses inélégantes m'en font fortement douter), car cette décision ne ressemble pas à celui qu'il est, et qu'il s'est évertué à me cacher, quand bien même, c'est ce dernier qui m'intéressait et que je souhaitais apprivoiser. Je n'ai surement pas su ; je ne m'en suis peut être pas donné les moyens ... mais il ne m'a donné que peu de chances et de temps. Je ne peux désormais lutter contre cette situation puisqu'elle n'a pas été discutée, mais présentée comme un fait accompli. Ce n'est pas ma vision du couple, je pensais aussi que ce n'était pas la sienne ... La déception s'impose elle aussi en réaction.

Je ne me serai pas cru capable d'une telle impudeur, je vais peut être le regretter ou supprimer ce billet ... mais il fallait que ça sorte. A mon tour je m'excuse si cela te met dans une position délicate, mais ... il fallait que ça sorte.
Dommage que tu n'aies pas souhaité me faire partager la complexité qui est tienne, mais qui est aussi propre à chacun de nous, je crois. Je pensais que nous partagions cette envie, mais peut être ai-je, là aussi, mal interprété ... ou peut être t'es-tu trompé.

J'arrive malgré tout à te (re)souhaiter une bonne route. Je suis surement motivé par l'incompréhension et le fait que je ne souhaite en rien devenir amère. Cependant, cette histoire me laisse un goût d'inachevé sur les lèvres.

Euh ...

Je crois que ça sent le sapin !

lundi 25 juin 2007

Le jour où ...

j'ai découvert que j'étais marié à Sylvie et que je connaisais une certaine Christelle, qui se dorait la pillule en Croatie !



Les erreurs de la Poste sont parfois amusantes. Même si dans ce cas, l'erreur vient plutôt de la fameuse Christelle, puisque l'adresse correspondait bel et bien.

J'sais pas si je l'aurai conservé comme amie si je la connaissais celle-là !


mercredi 20 juin 2007

Pas passionnant, mais bon ...

Ah ... ça y est, on me demande de répondre à des questions en chaîne. C'est une demande formulée par Poudre.

J'suis pas adepte de ce genre de choses, mais vu mon activité bloggesque du moment ... Voila ce que ça donne :

Quatre emplois dans ma vie :
- Démanageur (si, si !)
- Manutentionnaire
- Animateur
- Professeur de tennis


Quatre films que je regarderai encore et encore :
- Le fabuleux destin d'Amélie Poulain
- La bûche

- On connaît la chanson
- Le grand chemin

Quatre endroits où j'ai vécu (tout dépend de ce qu'on entend par vivre ...) :
- Tours
- Beaugency (Si, si, ça existe)
- Orléans
- Paris


Quatre émissions/séries TV que je regarde :
- Les infos
- En apparté
- Le Zapping
- Certaines séries

Quatre lieux où je suis allé en vacances (ce sont les plus prestigieux !) :
- La Réunion
- Barcelone
- Rome
- Florence

Quatre "choses" que je fais sur le net :
- Regarder
- Ecouter
- Lire
- M'informer

Quatre mets que je ne mangerais pour rien au monde :
- Euh ... doit bien y voir 4 trucs qui me dégoûtent, mais j'ai pas envie d'y penser là !


Mes quatre plats favoris :
- Le canard et ses dérivés

- Le tiramisu
- Un bon poulet rôti
- Le fromage


Quatre endroits où j'aimerais être en ce moment :
- Sous les tropiques
- Dans un café avec pleins d'amis
- Dans ma propre maison/appart'
- Dans une ville que je ne connais pas


Quatre personnes à qui je demande de poursuivre la chaîne...
- Non, je n'impose rien.

Un film très personnel

Boxes

Petit ciné hebdommadaire avec C., M. et A. Nous avions décidé d'aller voir Boxes de Jane BIRKIN, dont la bande-annonce avait attiré l'attention il y a quelques temps. Cependant, je ne m'étais pas davantage renseigné sur le contenu du film.

Boxes nous présente la rêverie d'Anna, que l'on comprend très vite être un film autobiographique sur la réalisatirce-actrice Jane BIRKIN. Elle y présente sa vie, ses amours, ses relations à ses enfants, ses parents et une multiude d'autres connaissances.

Dans un premier temps, j'ai été destabilisé par ce film. je ne m'attendais pas à celà. Mais rapidement, on comprend squ'il s'agît de sa propre vie que Jane BIRKIN raconte. Elle nous fait ici une confidence, dont on ne comprend d'ailleurs pas tous les éléments, ni toutes les allusions. Il s'agît davantage d'un film exutoire d'une femme qui fait un bilan sur sa vie ... un style assez en vogue actuellement. C'est assez déroutant, d'ailleurs, de nombreux spectateurs ont quitté la salle tout au long du film. D'ailleurs, une personne m'a beaucoup fait rire en sortant, puisque cette dernière ne trouvait pas la sortie, et s'agîtait dans tous les sens en bas de l'écran ... on la sentait honteuse, mais c'était assez amusant à voir.

Pour revenir au film, il y a de très beaux momens, mais le lien entre les diffrénetes histoires racontées n'est pas forcément bien fait. Il s'agît donc plutôt d'une accumulation de scènes ou de moments, plutôt qu'un film au rythme étudié. Je comprends que cela puisse apparaître hermétique, mais certains passages sont assez touchants. J'ai particulièrement aimé le fait que chacune des histoires sentimentales racontées, montre que les deux protagonistes ont, pour la plupart, des visions bien différentes des histoires qu'ils ont vécu. J'ai aussi apprécié de voir Annie GIRARDOT dans ce qui sera surement sa dernière apparition au cinéma. Et pour finir sur les actrice, j'ai aussi été épaté par Lou DOILLON qui joue le rôle de sa demi-soeur, Charlotte. Belle performance quand on y réfléchit.

J'ai retenu une phrase, qui, d'après mes comparses est une sitation. En gros, ça disait : Sourit et le monde sourit avec toi, pleure, et tu pleures seul. Quelqu'un en connaît-il l'auteur ? J. CONRAD a été avancé hier ...

vendredi 15 juin 2007

Zazie au Zenith

Je l'attendais depuis des mois et voici que la date de ce concert était arrivée !

C. et moi nous sommes donc retrouvé pour ce rendez-vous qui désormais devient traditionnel : les concerts de Zazie.

La première partie allait être assurée par Christophe WILLEM, j'en aurais mis ma main à couper ! J'ai bien fait de ne pas parier, car cette dernière a été assurée par un garçon répondant au nom d'Ours ... J'étais donc assez déçu, d'autant plus que la prestation ne m'a pas particulièrement convaincu, loin de là.

Puis un rideau se referme sur la scène ... encore quelques minutes de préparation et d'installation, et voici le profil de Zazie munie d'une guitare qui se dessine. La musique part, les lumières perdent de leur intensité ... et c'est parti ! Enfin, façon de dire, puisqu'une partie du rideau qui devait tomber est finalement restée suspendue. Mais l'incident a vite été réparé et n'a pas perturbé pour un sou la belle Zazie qui commençait déjà à entonner son premier titre : Tous des anges, vêtue d'une tenue pour le moins originale, mi-ange, mi-démon ... dont la seconde partie finira par prendre le dessus.

La tonalité du concert est annoncée dès le départ et se confirme avec les premiers morceaux : retour à une orchestration plus rock et à plus de simplicité (déjà l'entrée en scène était plus simple qu'à l'accoutumée). Peut être une volonté de retourner à l'essentiel.

L'ambiance monte assez rapidement, les morceaux s'enchainent et le plaisir d'être là se fait ressentir. J'étais arrivé plutôt fatigué, mais après quelques morceaux, je suis à fond dans le moment.

Pas de révélation en ce qui concerne les morceaux, les orchestrations sont plus rock, mais pas de réelle transformation par rapport à l'album. Zazie joue toujours autant avec son public, se laisse aussi émouvoir sur une chanson, sans qu'on s'y soit attendu (Larsen) mais quelques surprises (y compris pour elle !) agrémente un concert déjà excellent.

Première surprise donc pour cette pointe d'émotion, qui personnellement me touche toujours. J'adore que les artistes se révèlent humains sur scène, d'autant plus que cette démarche est tellement suréaliste. Touchant donc ...
Autre surprise, prévue cette fois-ci ... un duo alors inattendu avec Christophe WILLEM (Je l'savais !!! Je n'aurai donc perdu qu'une phallange en fait) sur un Jacques à dit surprenant de complicité et de complémentarité des voix. Une vraie bonne surprise.
Sinon, dans la catégorie imprévu : un
yaourtage de parole sur tout un couplet de Rue de la paix, assez comique ; une trahison de la part des fans qui ont assisté aux précédentes dates de la tournée et qui réclament un accessoire que Zazie avait abandonné pour cause d'un résultat infructueux ... et qui se voit donc contrainte de réitérer le coup du "ruban", particulièrement amusant aussi. Un indédit incompréhensible, mais surement très bien et un tas de petites appartés entre les chansons, toujours aussi drôles et déjantées, comme elle en a le secret.

Un rappel, puis Ca, chanson redoutée en ce qui me concerne, retentit et annonce déjà la fin du concert, que le rallumage extrêmement rapide des lumières clot, sans aucun espoir de prolongation. Dommage, mais c'était quand même très bien ! De quoi se mettre en joie pour tout le weekend.

jeudi 14 juin 2007

La délation, y'a que ça de bon !

C'est en lisant l'édition internet du Monde que je suis tombé sur un site qui m'a fait rire pedant un long moment.

Le site delation-gouv.fr nous propose de dénoncer toute attitude suspecte de nos congénaires qui semble suspecte et non conforme à la "France qui se lève tôt". Il s'agît bien sûr d'un site réelement satirique. Mais je vous conseille d'aller y faire un tour ... en tout cas, moi, j'en ris encore.

Pour lire les meilleures propositions, jetez un oeil ici. Personnellement, celle-ci m'a beaucoup amusé :

"M. ou Mme X dénonce son frère, La Flofe B
Pour le ou les faits suivants :

Veut être prof d'histoire pour:
- glander dans la fonction publique
- Faire des grèves pour prendre "mes futurs enfants en otage"
- Faire semblant de tout savoir
- Critiquer le gouvernement qui supprime des postes (si on avait besoin de profs ça ce saurait)
- Avoir 6 mois de vacances
- Mettre des mots sur le carnet des élèves pour se venger des profs qui le traitait d'anarchiste
- Et puis l'histoire on n'en même plus besoin, maintenant on a le ministère de l'Identité Nationale"

La France a encore de l'humour ... c'est déjà ça !

dimanche 10 juin 2007

Du weekend, en veux-tu, en voilà !

Un weekend très varié qui fixe le moral au beau fixe !

Première étape : la ballade du samedi après-midi nous a vu parcourir la Rive gauche. Qu'il est agréable de voguer au grès des rues dans Paris lorsque le temps est aussi agréable. Puis cafés de fin d'après-midi avec Monsieur B., un garçon fort sympathique, qui a finit par nous retrouver après quelques errements dans la rue Mouffetard. Nous l'avons ensuite raccompagné en marchand jusqu'à la place d'Italie, là encore porté par cette journée printanière très agréable. Au passage, j'ai découvert le quartier où je souhaiterai habiter ... si, si, un jour. Ma décision a été influencée par les commerçants du quartier : fromager, caviste, spécialités du Sud-Ouest ... que demander de plus ?

Deuxième étape : Après cette véritable randonnée pédestre, il était temps de se remplir l'estomac qui commençait à crier famine. Des mets japonnais tous particuliers ont donc été consommés avec plaisir, d'autant plus que l'appétit était grand.
Entre temps, nous avons quand même assisté à une danse pré-nuptiale d'un mâle qui se pensait dissimulé ... raté pour lui, mais cela nous à bien fait rire. Puis, l'heure de se diriger vers les Bains s'est présentée, afin de profiter de la dernière soirée Eden.

Troisième étape : Nous avons donc retrouvé les angéliques Esther, La Perla et Dfromparis tout de blanc vétus ... conformément au thème de la soirée. La soirée a donc rapidement débutée, puis nous avons été rejoint par une clique de bloggeurs : DemonZ, 6l20 et ses amis. Ayant pris mes marques lors de l'édition précédente, je suis plus rapidement entré dans l'ambiance cette fois-ci : j'ai passé une première partie de soirée très agréable : merci à ceux qui y ont contribué. Juste avant le déferlement de la vague blanche à l'étage inférieur, une rencontre bloggesque : Ikare, qui à son tour découvrait la soirée. Le dialogue a été plutôt limité, mais le cadre ne s'y prétait pas vraiment. Une prochaine fois probablement (encore merci pour le vote !).

La soirée s'est ensuite poursuivie aux Bains où je me suis, là encore, bien défoulé. Ikare nous a alors présenté son comparse : Norman de Widow Creek, un visage de plus sur un blog
! Apparement quelques Coxxiens étaient présents, mais je ne sais pas lesquels j'ai exactement vu (intéressant, non ?). Egalement présents et reconnus (attendus) : Creaminal et Olivier. En revanche, à partir de 4h30, ma vitalité s'est quelque peu amoindrie : la semaine éprouvante s'est alors faite ressentir ! Mais cela m'a alors permis de discuter davantage que je ne l'avais alors fait avec La Perla, un beau "coeur vaillant" tout emplumé (les poulets quand même !). Enchanté de faire ta connaissance.

Nous avons tout de même acompagné les angéliques chez l'une d'eux, afin de lentement reprendre pied avant de céder à l'appel du sommeil qui se faisait insistant ... 7h00 : il était temps de rentrer, nous avions des têtes d'anges déchus, même si certains ont ensuite rejoint l'Enfer.

Quatrième étape : un dimanche de repos à profiter du soleil et de l'herbe d'un parc du bout du monde : grand écart avec la veille, mais terriblement agréable.

Maintenant, il faut se préparer à retourner au travail demain : je crois que je n'ai déjà pas envie !

Une question demeure pourtant et s'adresse à toi Olivier : Pourquoi improbable ?

vendredi 8 juin 2007

Après vérification

Voilà surement ce à quoi vous pensiez mon cher Olivier :

Portrait présumé de Gabrielle d'Estrées et de sa soeur
par un anonyme de l'école de Fontainebleau, vers 1594, Musée du Louvres.


Qui a dit que les discussions dans les bars étaient futiles ?

jeudi 7 juin 2007

Il est bon d'être surpris

Les chansons d'amour

Après quelques petits délires immobiliers, je suis allé au cinéma avec A. Le choix s'est porté sur les Chansons d'amour de Christophe HONORE. J'en avais entendu et lu beaucoup de bien ; j'étais donc tenté.

Le film nous présente l'histoire d'un couple très parisien, Julie et Ismaël, qui depuis quelques temps tente l'aventure du trio avec Alice, une jeune femme indépendante et pétillante. Seulement, cette nouvelle venue semble perturber l'équilibre du couple et exacerber quelques divergences puis les personnahges vont alors être emportés dans un tourbillon dont aucun d'eux ne sortira indemne. La particularité du film réside dans le fait qu'une partie des dialogues se font sous la forme d'une comédie musicale.

Même si j'avais lu, ci et là, quelques critiques, je ne m'attendais pas à un tel scénario. Après un début où mon esprit vagabondais, j'ai donc été happé par l'histoire à partir de l'évènement qui boulverse la vie des personnages. Les dialogues, chantés ou non, sont d'une pertinence et d'une justesse assez touchante. La caméra de Christophe HONORE nous ballade dans un Paris automnale où les émotions sont présentées avec une certaine retenue ... encore du non-dit que l'on devine : j'adore. Les philosophies de vie s'entrechoquent, mais n'empêchent pas les personnages de se rencontrer, de s'appréhender, de s'aimer. Les seconds rôles sont joués avec brio. Mention particulière à mon goût pour Jasmine, la soeur cadette de Julie (Alice BUTAUD), qui intervient peu, mais qui fait mouche à chacune de ses répliques.
Cela donne bien évidemment envie de se proccurer rapidement la B.O. et de se ballader dans les rues de Paris pour s'y sentir vivre.

mardi 5 juin 2007

J'enrage

A peine garé 3 minutes sur une place bleue (avec disque ... que je n'ai bien sûr pas !) pour aller chercher un certificat médical à 200 mètres et vlan ... je vois un (joli) policier qui s'éloigne de mon véhicule. Je lui cours après ... lui explique ma grande détresse (11€ quand même) et ma bonne foi (certificat à l'appui). Il m'explique alors gentiment qu'il n'y peut rien et que je dois aller au commissariat (ça tombe bien je devais y aller ensuite) et espérer l'indulgence. La policière de l'accueil a été semble t-il bien moins sensible à mon sourire et me dit poliment que je l'ai "dans le cul Lulu" !

Putain, ça fait pas un mois que les élections sont passées et déjà il me la met profond. Tu m'étonnes que j'ai rempli ma procuration après ça !


Remarque : quand je suis énervé, je suis vulgaire, de mauvaise foi, j'enfonce des portes ouvertes et j'abuse des parenthèses. Ca donne envie non ?

Mosaïque toi même !

Puisque la photo est ici à la mode et que désormais, les "concours" de Thanos ça me connaît ...

Pour essayer à votre tour, c'est ici.

lundi 4 juin 2007

Galerie I

La boite à trombine marche bien ces derniers temps. Voici donc un premier best-of (j'ai repris la première publication) dans le désordre. J'en ai reconnu certains, mais pas tous. De plus, il semble que l'enquête soit tombée aux oubliettes.

La deuxième galerie est déjà en route, alors n'hésitez pas !


dimanche 3 juin 2007

Chronique d'un weekend

Je vis, je partage, je découvre, j'essaye d'apprendre, le tout sans réfléchir ou analyser ... et ça me plaît.